Oneohtrix Point Never
Oneohtrix Point Never
| Surnom | Chuck Person |
|---|---|
| Nom de naissance | Daniel Lopatin |
| Activité principale | musicien |
| Genre musical |
progressive electronic, post-industriel, glitch pop, drone, ambient, musique expérimentale |
| Instruments | synthétiseur |
| Années actives | 2007- |
| Labels | No Fun, Editions Mego, Warp |
| Site officiel | http://www.pointnever.com/ |
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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA.
Source: Article Oneohtrix Point Never de Wikipédia en français (auteurs)
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| Surnom | Chuck Person |
|---|---|
| Nom de naissance | Daniel Lopatin |
| Activité principale | musicien |
| Genre musical |
progressive electronic, post-industriel, glitch pop, drone, ambient, musique expérimentale |
| Instruments | synthétiseur |
| Années actives | 2007- |
| Labels | No Fun, Editions Mego, Warp |
| Site officiel | http://www.pointnever.com/ |
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Oneohtrix Point Never (né le ) est le nom d'enregistrement du musicien expérimental, installé à Brooklyn, Daniel Lopatin[1],[2]. Il a collaboré avec des musiciens comme The Weeknd, David Byrne, FKA twigs ou Iggy Pop[3].
Biographie
[modifier | modifier le code]En 2007, Daniel Lopatin crée son alias Oneohtrix Point Never. Ce nom fait référence à la station radio de rock alternatif, Magic 106.7, qu'il écoutait dans son adolescence[4]. Depuis son premier album, Betrayed In The Octagon, il est considéré comme le fer de lance de la vaporwave[3]. L'album Returnal a été sorti par Editions Mego en [5]
Depuis 2013, ses albums sont publiés par le label Warp Records[4].
Musique
[modifier | modifier le code]Daniel Lopatin compose sa musique et la joue essentiellement sur des synthétiseurs vintage. Cette musique est considérée comme « Drone ou ambient »[6], « de doux tourbillons sonores »[7] ou « un miroir craquelé qui reflèterait les sons du passé »[8].
Discographie partielle
[modifier | modifier le code]Albums
[modifier | modifier le code]- Betrayed In The Octagon (2007, Deception Island; 2009, No Fun)
- Russian Mind (2009, No Fun)
- Zones Without People (2009, Arbor; 2013, Software)
- Rifts (2009, No Fun)
- Chuck Person's Eccojams Vol. 1 (sorti en 2010 sous le pseudonyme de Chuck Person)
- Returnal (2010, Editions Mego)
- Replica (2011, Mexican Summer)
- Instrumental Tourist, avec Tim Hecker (2012, Software)
- R Plus Seven (2013, Warp Records)
- Garden of Delete (2015, Warp Records)
- Age Of (2018, Warp Records)[9]
- Magic Oneohtrix Point Never (2020, Warp Records)
- Again (2023, Warp Records)
Musiques de films
[modifier | modifier le code]- 2010 : Girlfriend (en) de Justin Lerner (musique additionnelle)
- 2015 : The Bling Ring de Sofia Coppola
- 2015 : Partisan d'Ariel Kleiman
- 2017 : Good Time de Joshua et Ben Safdie
- 2019 : Uncut Gems de Joshua et Ben Safdie[10]
Lien externe
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- « Oneohtrix Point Never » (présentation), sur l'Internet Movie Database
Notes et références
[modifier | modifier le code]Sur les autres projets Wikimedia :
- Oneohtrix Point Never, sur Wikimedia Commons
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Oneohtrix Point Never » (voir la liste des auteurs).
- ↑ « Oneohtrix Point Never preps Returnal », Resident Advisor, (consulté le )
- ↑ Max Burke, « Oneohtrix Point Never: Rifts », prefixmag.com, (consulté le )
- ↑ a et b (en) Jude Rogers, « Oneohtrix Point Never: the warped genius behind Uncut Gems's spine-chilling score », sur The Guardian, (consulté le )
- ↑ a et b Pascaline Potdevin, « Oneohtrix Point Never, magicien sonore », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ Philip Sherburne, « Album Reviews: Oneohtrix Point Never: Returnal », Pitchfork, (consulté le )
- ↑ Joe Colly, « Album Reviews: Oneohtrix Point Never: Rifts », Pitchfork, (consulté le )
- ↑ Toby Frith, « ONEOHTRIX POINT NEVER - RETURNAL », bleep43.com, (consulté le )
- ↑ Louis Pattison, « Oneohtrix Point Never: Rifts », thequietus.com, (consulté le )
- ↑ (en) « Oneohtrix Point Never Announces New Album Age Of | Pitchfork », sur pitchfork.com (consulté le )
- ↑ « WARP », sur warp.net (consulté le )
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