Documents pour «Criminalité»

Dans les Appalaches, le fils d'un seigneur du crime local, rencontre la fille de ses rêves. Il souhaite désespérément échapper aux exigences qu'on attend de lui et se libérer des griffes de son père. Il est alors contraint d'affronter ce dernier qui ne reculera devant rien pour s'assurer la loyauté de tous ceux qui l'entourent.

A la fin des années 20, le Tibet est toujours sous la coupe d'un chef de guerre cruel et sanguinaire Ying Ko. Celui-ci est enlevé par un saint homme, le Tulku, qui l'oblige à se racheter pour devenir l'instrument de sa lutte contre le Mal. Sept ans plus tard, désormais repenti, il réapparait à New-York en tant que Lamont Cranston, plus connu sous le nom de "The Shadow" et se bat toutes les nuits contre le crime pour faire régner l’ordre et la justice sur la ville. Mais le quotidien du héros légendaire est perturbé lorsque son ennemi juré Shiwan Khan, doté des mêmes pouvoirs, refait surface en menaçant de tout détruire à l’aide d’une bombe atomique. L’affrontement est inévitable...

Dans une Amérique rongée par une criminalité débridée et des prisons surpeuplées, le gouvernement a donné son accord pour qu'une fois par an, pendant 12 heures, toutes activités criminelles, meurtres inclus, soient légalisées. La police ne peut intervenir. Les hôpitaux suspendent leurs services. Une nuit durant, les citoyens sont à même de définir leurs propres règles et de faire leur propre loi, sans avoir à craindre de sanctions. Au cours d'une telle nuit hantée par la violence et le crime, une famille va devoir faire un choix - bourreau ou victime ? - face à un inconnu venu frapper à sa porte.   Pour public averti.

"Shooting The Mafia" retrace la vie de la photographe italienne Letizia Battaglia, un personnage fondamental à Palerme et en Italie entre les années 1970 et 1990. De la photographie de rue à la documentation des morts de la mafia, en passant par son implication dans la politique, elle est connue pour avoir immortalisé les ravages provoqués par la mafia dans sa Sicile natale. Naviguant entre ses clichés en noir et blanc saisissants, les grands classiques du cinéma italien, des archives rares et les propres souvenirs de l'artiste, le documentaire fait le portrait d'une femme extraordinaire dont le courage et la résistance ont contribué à dénoncer les crimes de la Cosa Nostra. Kim Longinotto raconte la vie d'une artiste passionnée et courageuse, montrant non seulement une existence extraordinaire et non conventionnelle, mais aussi un aperçu de l'histoire italienne.   Sous-titres intégrés.

Un mystérieux inconnu est transporté d'urgence à l'hôpital. Il est dans un état critique après avoir été blessé par balles au cours d'une fusillade sanglante. Une infirmière dévouée du nom de Suzanne le prend immédiatement en charge, mais les agents étrangers d'une organisation criminelle le pourchassent, entraînant médecins et infirmières dans leur course-poursuite.   Le film vous est proposé : - en version originale (dans ce cas choisissez les sous-titres "Français 1"). - en version française (dans ce cas, choisissez les sous-titres "Français 2" pour afficher les sous-titres partiels).

La découverte d'une main coupée dans un canal à Bruxelles oblige Kiki, plongeuse de la police belge, à faire face à une profonde culpabilité du passé, la sienne et celle de son pays.   Le film vous est proposé : - en version originale (dans ce cas choisissez les sous-titres "Français 1"). - en version française (dans ce cas, choisissez les sous-titres "Français 2" pour afficher les sous-titres partiels).

D’après une Incroyable histoire vraie. Un jeune adolescent originaire de Porto Rico est forcé de survivre dans les méandres de rues malfamées de Brooklyn. Tenté par le pouvoir des gangs et l’addiction aux drogues, la foi et la liberté peuvent-elles le sauver tandis qu’il menace son équilibre et celui de sa famille ?

Nicola et ses amis ont entre dix et quinze ans. Ils se déplacent à scooter, ils sont armés et fascinés par la criminalité. Ils ne craignent ni la prison ni la mort, seulement de mener une vie ordinaire comme leurs parents. Leurs modèles : les parrains de la Camorra. Leurs valeurs : l'argent et le pouvoir. Leurs règles : fréquenter les bonnes personnes, trafiquer dans les bons endroits, et occuper la place laissée vacante par les anciens mafieux pour conquérir les quartiers de Naples, quel qu'en soit le prix.  

Depuis quelques années, de plus en plus d'Etats dans le monde rompent avec cinquante ans de politique des drogues répressive, coûteuse et inefficace. Au marché noir du cannabis tenu par des organisations criminelles toujours plus puissantes, ils tentent de substituer une offre légale, sûre et plus vertueuse pour la collectivité. La légalisation remplira t-elle toutes les attentes qu’elle suscite ? Comment réagissent les dealers et les cartels ? Quel impact sur la violence, sur la santé publique, les finances des Etats ? Filmé aux Etats-Unis, au Canada, en Uruguay, au Mexique et dans plusieurs pays d'Europe, ce documentaire cherche des réponses dans les pays pionniers. Le récit, qui débute par un face-à-face entre Etats et trafiquants, fait apparaître un troisième acteur, des investisseurs privés aux appétits aiguisés.

La Mort se Mérite brosse le portrait de Serge Livrozet, figure de la contre-culture française des années 70, ancien plombier, ancien perceur de coffres forts, fondateur avec Michel Foucault du Comité d’Action des Prisonniers, écrivain autodidacte et militant libertaire. Devant la caméra intimiste de Nicolas Drolc, cet " anarchiste qui n’aime pas les bombes " se laisse dresser le portrait en n’étant tendre ni avec lui-même, ni avec la vie et les plaisirs qu’il y recherche pour " rendre ce séjour merdique le moins désagréable possible ".

Fikret Varupa est un jeune homme de 16 ans, originaire de Sarajevo.Il apprend à l’enterrement de son père que ce dernier devait de l’argent à Hamid, inconnu de lui jusqu’alors. Sa famille doit absolument rembourser cette dette afin de rendre la paix à l’âme du père. Fikret essaye différents moyens pour trouver l’argent, jusqu’à se laisser entraîner par deux flics corrompus.. 

Utah, jeune homme accro à l’héroïne, survit avec sa petite amie Opal en commettant des braquages pour survivre et se payer une nouvelle dose. Il fait la rencontre de l'énigmatique Wood, qui lui propose de l’aider, et le conduit dans un centre de désintoxication à Los Angeles. Alors qu'il débute sa cure, Utah découvre que le centre de désintoxication où il est traité n'a en réalité pas pour but d'aider les gens, mais de couvrir une fraude de plusieurs milliards de dollars. Il est alors entrainé dans cet engrenage criminel…

Cinq femmes de classes sociales et de générations différentes dressent le portrait d’une société en perdition et nous permettent de prendre le pouls d’une population en détresse, de représenter une sorte de baromètre de la situation du Venezuela. Filmées dans leur quotidien, elles témoignent de leur détresse face à une situation intenable : celle de la pénurie alimentaire, du manque de moyens médicaux et sociaux, de la violence et de la criminalité grimpantes d’un pays qui fut un eldorado économique et qu’elles ne reconnaissent plus.

Après avoir purgé sa peine, Charles Ingvar "Sickan" Jönsson retourne à la vie civile avec un nouveau coup en tête, qu'il a eu, en prison, tout le loisir de planifier dans les moindres détails. Mais ses anciens partenaires, Ragnar, Harry et Doris, se sont rangées et coulent des jours paisibles. A moins qu'une couronne royale et une pierre mythique les fassent changer d'avis…

Dans les années 70, le criminel mafieux Renzo et sa bande ravagent les rues, tuant et volant sans pitié partout où ils passent. Le détective Womack décide de ne reculer devant rien pour mettre ces voyous devant la justice, même si cela signifie enfreindre la loi.

Souvent médiatisé et pourtant très mal connu, le phénomène des gangs en France a sans doute contribué à ternir l’image d’une certaine jeunesse. Ce phénomène est aujourd’hui présent dans les affrontements entre quartiers, mais il est la conséquence d’une histoire que beaucoup ignorent. Pour comprendre le pourquoi des gangs, le film remonte aux années 45. En effet, les jeunes qui, à cette époque, organisèrent les premiers gangs l’ont fait pour se protéger des agressions racistes. Cette motivation première, non dépourvue de légitimité, dérivera progressivement pour aboutir aux comportements autodestructeurs actuels. Ce sont les principaux acteurs de chaque époque qui nous racontent ces temps forts, l’ambiance générale et la manière dont certains gangs développèrent une culture spécifique. Tous ces témoignages bousculent de nombreuses idées reçues et les clichés véhiculés par la presse à sensation. Afin d’illustrer le sujet de manière dynamique, une recherche toute particulière a été réalisée pour retrouver les rares images d’archives existantes. Elles ont le plus souvent été recueillies auprès des membres de gangs et sont donc pour la plupart inédites. Des sociologues, des journalistes spécialisés aident à comprendre le fonctionnement des gangs selon leur approche scientifique. Ce documentaire aborde un sujet quasiment inédit, car il est très difficile de travailler sur les gangs, compte tenu du caractère parfois illégal de leurs actions et de la méfiance compréhensible des principaux intéressés.

Un policier intransigeant est transféré à Naples en raison du taux de criminalité hallucinant de la ville. Ses méthodes expéditives sont considérées comme un remède à la situation...

Naples. Aujourd’hui. Giovanna, travailleuse sociale combative de 60 ans, fait face à une criminalité omniprésente. Elle gère un centre qui s’occupe d’enfants défavorisés et offre ainsi une alternative à la domination mafieuse de la ville. Un jour, l’épouse d’un criminel impitoyable de la Camorra, la jeune Maria, en fuite avec ses deux enfants, se réfugie dans ce centre. Lorsqu’elle lui demande sa protection, Giovanna se retrouve confrontée, telle une Antigone moderne, à un dilemme moral qui menace de détruire son travail et sa vie.

À Naples, la camorra napolitaine est un contre-pouvoir qui terrorise le citoyen et dicte ses lois au quotidien. À partir des témoignages des habitants des quartiers populaires et de personnages institutionnels, un policier, un juge et un magistrat, le film tente une nouvelle approche du phénomène.

Partir sur les traces du génocide rwandais, comprendre comment la société rwandaise se reconstruit dix ans après le crime, tel est le propos de Denis Gheerbrant dans "Après". En le développant, il met en branle un processus de connaissance qui le happe pour le mener progressivement au coeur de son sujet.

"L'arrière-petit-neveu du bisaïeul de ma trisaïeule avait tué un jour à coups de pioche le maire du village, sa femme et le garde-champêtre, coupable d'avoir déplacé sa chèvre de dix mètres. Ca me fournissait un bon point de départ... Il y a eu d'autres manifestations du même ordre dans la famille." (Luc Moullet) Originaire des Alpes du Sud, Luc Moullet a constaté que les cas de troubles mentaux étaient particulièrement nombreux dans cette région. Meurtres, corps découpés en morceaux, suicides, immolations, à travers sa famille, ses proches et les différentes "affaires" des cent dernières années, Moullet étudie les causes et les conséquences de ces phénomènes psychiques locaux.

Zapa, un serrurier, mène une existence paisible et sans histoire dans un petit village argentin. Son patron l'implique dans un cambriolage. Arrêté, il bénéficie du soutien de son oncle, ancien commissaire qui va infiltrer dans le Bonaerense.

Inspiré d'un fait divers remontant aux années 1950, La Gammick raconte l'histoire de François (Chico) Tremblay, Québécois moyen, qui se trouve confronté, après quelques années de bons et loyaux services au sein de la pègre montréalaise, avec la toute-puissante mafia américaine. La Gammick, plus qu'un thriller, a une signification sociale et idéologique qui rend possible une lecture à plusieurs niveaux et permet l'analyse sociopolitique d'un phénomène urbain: le gangstérisme.

Ils parcourent les cinq continents et sillonnent les mers du monde à la recherche de vestiges archéolo-giques précieux. Ceux que l'on appelle les pilleurs de trésors mènent un trafic illégal. Et tirent profit de la pauvreté des populations locales. Des objets millénaires du patrimoine Inca sont ainsi achetés quelques dizaines d'euros auprès des paysans andains et revendus à un prix considérable sur le marché international. Des fouilles illicites sont également menées dans certains pays du Sud. Là aussi, les objets trouvés sont rachetés à prix d'or. Les collectionneurs ne s'en cachent plus. Mais les pays victimes de ces pillages ont pris conscience du phénomène. Et les réseaux sont peu à peu démantelés.